Je ne sais pas qui s'amuse à traiter ces bateaux de dynosaures, mais je peux vous dire que lorsqu'on a la chance de mettre le pied à bord d'un Class America en course et que l'on s'intéresse un tant soi peu à la voile, c'est un moment d'un incroyable densité. Les futurs catamaras de la Coupe de l'America seront sans doute très exigeants pour leurs équipages, mais les IACC auront élevé l'art de la manoeuvre à leur plus haut degré de précision et de sophistication. Et quand il y a un Sébastien Col à une barre, James SPithill à l'autre, vous avez plutôt intérête à ne pas laisser traîner vos pieds par dessus bord. Cà passe au millimètre !...
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